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Le 9 juin prochain se tiendront les élections européennes. À l’issue du vote, la France enverra 81 députés, de gauche comme de droite, à Bruxelles. Placée entre les élections de plus grande envergure comme les Municipales ou les Présidentielles, les Européennes ont bien du mal à attirer les jeunes.
Depuis deux ans, Apolline Giroud exerce le métier d’ergothérapeute dans un hôpital toulousain. Passionnée par un métier peu connu du grand public, elle nous explique les joies et les peines de son quotidien.
Alors que chaque année le nombre de personnes démunis augmente, des aides leur sont toujours misent à disposition pour les aider. Le Secours Catholique est l’une d’entre-elles à Toulouse.
Dans le tumulte urbain d’une ville endormie, une lueur d’espoir orange brille au cœur de la nuit. C’est l’heure de la maraude, une mission humanitaire où des bénévoles se rassemblent pour apporter réconfort, soutien et aide aux personnes les plus vulnérables.
Souvent considérée comme le combat principal de la génération Z, l’écologie est encore aujourd’hui au centre de tous les débats. Les actions militantes se succèdent et les jeunes sont toujours présent en nombre. Un constat particulièrement vérifiable avec les jeunes militants toulousains.
Shein, Zara, Primark … ces nouvelles entreprises, symboles de la « fast fashion » sont en plein essor. Plébiscitées par les jeunes, notamment pour leurs prix accessibles et la diversité des choix proposés, elles représentent cependant une véritable catastrophe écologique, ainsi qu’une concurrence souvent déloyale pour les autres enseignes. Pourtant, ces dernières années, une nouvelle tendance a commencé à se populariser : celle de la seconde main. A Toulouse, entre friperies et vente en ligne, le marché de l’occasion est en plein essor.
Alors que la pandémie est à peine derrière nous, c’est désormais la hausse des prix qui impacte désormais les Toulousains les plus précaires. Et bien que l’inflation soit en baisse au mois de janvier 2024, elle est toujours trop importante pour ceux qui n’ont pas les moyens de se loger ou de se nourrir convenablement. Une situation qui inquiète les Toulousains.
À Toulouse comme partout en France, l’inflation est au cœur des préoccupations économiques. Les habitants de la ville rose ont remarqué une augmentation des prix. Le pouvoir d’achat est donc en baisse. Fabrice Collard, économiste, nous explique pourquoi.
Véritables lieux de connexion entre les habitants d’un même territoire, les centres sociaux permettent à tout à chacun d’avoir accès à des services administratifs ou encore socio-culturels. Un moyen pour les personnes éloignées, autant physiquement que socialement, de ce genre de services d’en avoir à deux pas de leur logement. Sauf que les centres sociaux connaissent une baisse drastique de leurs moyens.
En ces temps où l’inflation grignote notre pouvoir d’achat, il est bon de savoir qu’il existe encore des restaurants où l’on peut se régaler sans se ruiner. C’est le cas de La Maison Gourmande, située à Toulouse, qui propose un menu anti-inflation.
Toulouse, ville moderne et dynamique, abrite une jeunesse qui se questionne de plus en plus sur son avenir et son rôle dans la société. Parmi eux, certains s’engagent politiquement, tandis que d’autres restent plus sceptiques. À quelques mois des élections européennes de 2024, beaucoup de questions se posent, dont celle de l’investissement des jeunes dans ce processus démocratique. Rencontre avec deux étudiants toulousains aux visions opposées.
Repas étudiant par excellence, les kebabs ont depuis leur apparition en France été vantés pour leur rapport quantité-prix. Frappés de plein fouet par l’inflation, ces snacks ont vu leur prix grimper en flèche pour pouvoir rester ouvert.
Les boulangers mangent leur pain noir. Depuis la crise sanitaire, ils ont constaté avec l’impuissance l’explosion des prix de l’électricité et des matières premières qui les ont contraints à augmenter les tarifs de leurs produits. Aujourd’hui, le cri à l’aide de la profession se fait de moins en moins entendre mais les factures n’ont pas baissé. Reportage au sein du fournil blagnacais Maison Blanchard qui tente de trouver des solutions face à l’inflation tout en s’efforçant de conserver ses principes artisanaux.
En France, lors d’événements sportifs, il y a généralement entre 10 et 30 personnes avec une déficience visuelle dans un stade. C’est-à-dire une vingtaine de personnes qui ne peuvent profiter pleinement du plaisir de se poser devant un bon match. Sans des solutions adaptées il est compliqué pour des personnes mal-voyantes ou non-voyantes de suivre les actions qui se déroulent sur le terrain. À Toulouse, plusieurs jeunes se sont mobilisés individuellement, sans se concerter, afin de rendre l’accessibilité des stades plus inclusive.
Les voyages sont le carburant de la jeunesse, et pour Léonie et Hugo, deux étudiants toulousains de 20 ans, cette maxime s’est révélée vraie lors de leur aventure d’échange universitaire à Milan et Barcelone. Pourtant, ils ont rapidement réalisé à quel point le mode de vie Toulousain est irremplaçable, et ce, sur plus d’un point.
Dans le monde du sport, la quête de financement et de sponsors est souvent aussi exigeante que la discipline elle-même. À Toulouse, cette réalité ne fait pas exception pour les nombreux athlètes locaux confrontés à des défis financiers. Killian Koob, athlète en lancer de poids au niveau national, et Valentine D., une jeune athlète qui aspire à un niveau compétitif supérieur en taekwondo, témoignent des obstacles rencontrés sur leur chemin vers l’excellence sportive.
Des fous du volant il y en a partout. Mais si tu pouvais éviter d’en être un, ça rendrait pas mal service à la société. Mais des fois, une maladresse ça arrive. Le tout, c’est de ne pas les accumuler. Sacha, toulousain de 22 ans, en permis probatoire, a fait une erreur qui lui a coûté 4 points. Il a alors assisté à un stage de récupération de points. Nous l’avons suivi.