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La vie d’un quartier

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23h30, Avenue des Etats-Unis : 

À peine habillées, dans le froid automnal d’un mois d’octobre, les « belles du soir » attendent leurs clients. Vous êtes-vous déjà baladé dans un quartier instrumenté par la prostitution ? Avez-vous déjà croisé ces regards suspicieux, rencontré ces jeunes femmes patientant, souvent le téléphone à la main, que les clients surgissent pour demander leurs services ?

Au nord du quartier Minimes-Barrières de Paris, la prostitution s’organise sur un grand boulevard où la circulation est dense. Ici pas de petite ruelle, mais un parking de routier et sa brasserie, une impasse et ses habitations, un hôtel à sa réputation fâcheuse. C’est le décor, quelque peu sinistre, du lieu de travail des prostituées. 

Pour bien décrire l’atmosphère qu’il y règne, il faut comprendre tout d’abord qu’arriver en voiture sur les lieux à 23h30 est déjà un premier signe suspect. Se garer, sortir et observer en sont d’autres. Si dans la pratique journalistique, la démarche d’aller sur le terrain semble tout à fait adéquate, dans le milieu de la prostitution, ce sont autant de signes qui font de vous un potentiel client. Compliqué alors de commencer une enquête, d’observer sans se savoir soit même observé, d’interroger sous peine d’être interpellé.  

Loin des lumières du centre-ville et de la rue Bayard (anciennement le lieu de prédilection de la prostitution de rue), l’avenue des Etats Unis a l’avantage d’être repoussoir, sinistre, peu accueillante. C’est un parage glauque, sombre, où chacun est présent dans un but bien précis. Et il faut bien dire que le quartier ne se prête pas à des balades nocturnes au clair de lune.  

Dans la pénombre, on peut voir, non sans effort, nos « belles du soir » disposées à des zones bien précises dans des accoutrements qui laissent peu d’incertitudes quant à leur intention. Non loin, des hommes rodent, veillent à ce qu’elles ne parlent pas trop entre elles et effectuent leur mission du soir. « Macs », « proxénètes », les diminutifs ne manquent pas pour désigner les organisateurs de cette prostitution de rue. S’ils semblent peu sympathiques au premier abord, ils sont, du moins en apparence, le seul rempart entre les clients et les prostituées. 

Dans le prolongement de l’avenue se trouve une petite impasse, lieu de vie des principaux résidents et lieu de travail d’Éric, veilleur de nuit à l’hôtel des Etats-Unis depuis 15 ans. Lui connait parfaitement cette prostitution de rue pour l’avoir sous les yeux chaque nuit. Il a accepté de témoigner, sans tabou, d’un sujet qui fait pourtant bien souvent polémique. 

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Rencontre avec un veilleur de nuit

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L’hôtel des Etats-Unis est directement touché par cette prostitution. Son veilleur de nuit a pris l’habitude chaque soir d’entendre des cris et des voitures passer, à toute heure. De par son emplacement, l’hôtel doit assumer une mauvaise réputation, celle d’être un hôtel « à putes ». Eric s’en défend en précisant dès les premières minutes de l’entretien que la politique de l’infrastructure n’est pas d’accueillir les prostituées. Pourtant, il sait que la clientèle fidèle de l’hôtel sont des hommes, bien souvent seuls, qui n’hésitent pas à réserver une chambre pour y ramener une fille. Des situations cocasses, il en a vécues plusieurs. Comme cette fois où une fille, prise de panique par les demandes de son client, est venue lui demander de l’aide en sortant de l’ascenseur complètement nue. Avec le temps, il a su gérer les situations, il a appris à faire la différence entre des cris de violence et des filles qui s’égosillent au téléphone avec leurs ami(e)s à l’autre bout du monde. Pour lui, la prostitution n’est pas un problème en soi. C’est plutôt son mode de fonctionnement qui le rend perplexe. Il met en garde sur l’âge des femmes, de plus en plus jeunes, souvent venues d’Afrique centrale ou d’Europe de l’Est. 

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L’impact sur la vie des riverains

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11h30, Impasse des Etats Unis :

Au matin, le quartier n’est guère plus accueillant. Les déchets de la veille sont à peine cachés un peu partout. Les préservatifs usagés et les mouchoirs sont à la vue de tous. Un résident rentrant chez lui explique : « c’est pareil tous les matins depuis trois ans. Vous savez, j’ai pris l’habitude, c’est dégueulasse mais qu’est-ce-que vous voulez qu’on y fasse ? ». 

Une situation que déplore le comité du quartier Minimes-Barrières de Paris. Frédéric Gresse, en charge de la question de la prostitution prend le sujet très à cœur. En 2014, un arrêté municipal précise des zones où la prostitution est strictement interdite. L’activité se déplace donc vers le nord de Toulouse, dans le quartier Barrières de Paris. Pendant neuf mois, les riverains vivent un calvaire : tous les matins, ils trouvent des lingettes sales devant chez eux car les prostituées n’ont pas accès aux toilettes. Les habitants se plaignent alors des voitures qui défilent tout au long de la nuit, des clients qui invectivent des prostituées à 4 heures du matin. En dehors du bruit et des déchets, c’est surtout l’atteinte à la pudeur publique qui dérange les résidents. À la suite de toutes ces réclamations, le comité de quartier s’organise et, en mars 2015, un arrêté municipal est publié contre les nuisances liées à la prostitution dans la zone allant du rond-point Barrières de Paris jusqu’au rond-point où se situe le groupe Citroën (voir la carte). 

 

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Pourtant, le comité de quartier ne se satisfait pas entièrement de ces décisions. Eux savent que le problème a juste été déplacé. Suite à cet arrêté municipal, le réseau de prostituées s’est déplacé vers le haut du boulevard des Etats-Unis et le quartier de la Glacière. Un lieu où les habitations sont plus rares, où les regards sont moins présents. Mais un problème déplacé n’est pas un problème résolu. Il y avait, début septembre, selon Frédéric Gresse, une cinquantaine de riverains pour une cinquantaine de filles et de proxénètes. Une situation insupportable, dans le quotidien du voisinage.

Une cohabitation difficile 

La cohabitation est difficile pour certains, d’autres l’acceptent plus volontiers sans avoir de solution alternative. Les prostituées n’ont pas voulu témoigner, ni répondre aux questions. Préférant le silence, elles ont ignoré les propositions de rendez-vous. Pour beaucoup, elles savent qu’elles sont surveillées, et leur seul objectif reste de travailler et d’être « productives ». Sont-elles parfois agressives ? Sans être affirmatif, certains riverains se plaignent de leurs méthodes et de leurs provocations. C’est le cas de Julien et Valérie, un jeune couple. Ils expliquent qu’une de leur voisine s’est déjà emportée contre une des filles après que son fils de 15 ans ait été approché pour une fellation en rentrant du lycée. Tous reconnaissent, du moins devant le micro, que le problème n’est pas la prostituée en elle-même mais plutôt l’organisation mafieuse de cette prostitution. Le sujet n’en reste pas moins très sensible, et beaucoup de riverains interrogés ont avoué avoir parfois honte d’habiter ce quartier. Denis, à micro fermé, explique se sentir parfois complice de ce système. Pour lui, la police n’en fait pas assez, elle laisse faire, et abandonne en quelque sorte les riverains. 

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J’ai des nuisances la nuit car j’ai une chambre qui donne sur l’Impasse. Mais bon ce n’est pas une raison pour aller les dénoncer car de toute façon on laisse faire (la police), donc je vois pas pourquoi on irait les emmerder. Mais ça a été virulent avec les voisins. Tous mes voisins étaient absolument contre, cela les rendaient fous et agressifs. Maintenant comme ça s’est un peu calmé, ils donnent l’apparence de ne pas trop être agressifs.

Vous savez ce sont des voisins qui sont là depuis longtemps. C’est des Français je dirais « de souche » familièrement. Ils ont un patrimoine inculqué dans la tête très « frenchy », très « cathos ». Pour eux, c’est le mal incarné. 

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Quelles sont les solutions ? Ou l’absence de solution ?

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Durant le reportage, les nombreux témoignages de riverains en colère ont mis en avant l’absence de solution par rapport aux nuisances liées à la prostitution. L’intégration des prostituées est difficile, que cela soit dans la vie de tous les jours, où peu sont les gens rencontrés à s’être vraiment inquiétés pour les « belles du soir ». Pourtant, à en croire le comité de quartier et Frédéric, il y a eu du changement. Après de multiples rendez-vous avec Olivier Arsac, adjoint au maire et coordinateur des politiques de prévention et de sécurité auprès de la police municipale, la mairie a organisé des rendez-vous avec les médias pour que des articles paraissent. L’objectif ? Sensibiliser l’opinion publique. S’il n’y a pas eu d’arrêté municipal en 2017, des actions de police ont eu lieu dans la zone de l’Impasse des Etats-Unis. En effet, toujours selon Monsieur Gresse, des policiers se sont stationnés pour gêner les clients, rendant le réseau et son organisation difficile. La mairie aurait aussi fermé les parkings des propriétaires, utilisés la nuit pour des passes. Sans forcément éradiquer les nuisances, il faut en effet constater que les prostituées se font plus rares dans l’impasse des Etats-Unis et la rue de la Glacière. Une constatation que font également les riverains interpellés, ainsi qu’Éric, le veilleur de nuit. Pourtant, les critiques ne sont pas prêtes de s’arrêter. Il faut comprendre que le voisinage qui subit ces nuisances ne peut se satisfaire de la situation actuelle. Car si les prostituées se sont plus par dizaines devant les portes des citadins, elles s’installent juste à l’entrée de l’Impasse. Et le constat des déchets un matin d’octobre montrent bien que les passes se font toujours dans la rue de la Glacière. 

Beaucoup sont donc ceux (veilleur de nuit, riverains, comité de quartier) qui affirment que la police fait juste le minimum sans réellement influer dans la lutte contre les réseaux de prostitution. Car, en observant bien la vie du quartier le soir à partir de 23 heures, on remarque facilement que c’est un réseau de prostitution mafieux, organisé par des proxénètes qui rodent et surveillent les prostituées. 

Monsieur Arsac a daigné répondre aux questions, malgré les relances, sur le réel rôle que joue la police dans la lutte contre ce réseau de prostitution. Chacun à un avis personnel sur la question. Des riverains présents au comité de quartier émettent l’idée que les maisons closes seraient le meilleur moyen de lutter contre les réseaux et la maltraitante des femmes. Un avis que ne partage pas Émilie Boutin, sociologue et chargé de la prévention et de la formation à l’association de l’Amicale du Nid. En avril 2016, l’Assemblée Nationale a voté pour la pénalisation des clients, et Frédéric Gresse regrette que cette application ne soit réalisée que trop peu souvent. L’interpellation en flagrant délit est nécessaire pour pénaliser le client, et la police semble avoir des difficultés à appliquer cette obligation. Pourtant, selon des chiffres de la mairie, sur cinquante interpellations à Toulouse, aucune récidive n’est à déplorée. 

Prostituées, riverains, municipalité : il serait trop simple d’accuser seulement un parti pour justifier les difficultés qu’entrainent la prostitution dans le quartier Minimes – Barrières de Paris. Si des solutions existent pour encadrer les prostituées et rendre meilleur le quotidien des habitants, il faut se rendre à l’évidence : la prostitution ne s’arrête pas du jour au lendemain. Et même dans les pays où elle est légale et encadrée, comme dans l’état du Nevada aux Etats-Unis, les difficultés sont loin d’être résolues. Faut-il pour autant ne rien faire ? 

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« Il n’est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. »

Henri Queuille – homme politique français

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