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Terreur Nocturne

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« Je ne crois en rien, la religion ça ne m’intéresse pas, mais le jour où mon fils a commencé à faire des terreurs nocturnes, je me suis rapidement inquiétée. J’ai préféré consulter un prêtre exorciste »

Attablée dans un petit bar du centre de Villefranche de Rouergue en Aveyron, Cathy évoque ces moments aussi durs que particuliers : « Au début, on ne pensait pas que cela aurait autant de conséquences ; c’est en grandissant, quand il a commencé à marcher que l’on s’est rendu compte de la gravité ». De nombreux enfants sont sujets à des terreurs nocturnes face auxquelles, les parents ne savent pas à quel saint se vouer ! Le fils de Cathy était hanté par deux cauchemars en particulier : celui où deux raies mantas le pourchassaient sans cesse et l’autre où une boule géante roulait en permanence derrière lui. « Mais le problème, poursuit l’Aveyronnaise de souche, c’est qu’il était enfermé dans ses rêves et ne voyait plus personne autour de lui ». Il agissait alors comme un somnambule qui, parsemé de cris et de hurlements, a vite incité ses parents à comprendre que le problème était plus important.

« On arrivait à le calmer pendant une heure puis ça recommençait, la seule chose dont il se souvenait c’est qu’il avait très peur ». Sans avoir trop de pistes,  au début, sa mère et son père se sont tournés vers un kinésiologue. « Il nous a répondu qu’il ne pouvait pas le soigner, car le problème ne venait pas de lui, mais de quelque chose de bien plus profond ». Après cette intervention, le kinésiologue leur a conseillé d’aller voir un prêtre exorciste; « Sur le moment je n’ai pas compris, j’ai pensé au film de Friedkin, l’Exorciste et j’ai marqué un temps d’arrêt », rappelle-t-elle.

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La rencontre avec le prêtre

 

Après quelques recherches, elle trouve une piste d’un prêtre susceptible d’exorciser le jeune garçon. Il est installé dans le Lot, près de Cajarc où il possède sa chapelle. Elle s’y rend seule avec son enfant, non sans une certaine appréhension « Je suis arrivé chez lui, il avait construit sa chapelle à côté de son domicile. Nous sommes rentrés, il y avait pleins de Vierge… » Après qu’ils se soient installés, et qu’elle ait pris le temps d’expliquer les problèmes de son fils, le prêtre lança au garçon une seule phrase : « tu n’as rien à faire à part tenir ce chapelet dans ta main ».

Pendant que l’enfant tenait l’objet de culte, l’homme d’église récitait des prières en latin pour extirper un mal qui le possédait. « Le prêtre m’a dit que mon fils était très sensible, mais aussi très réceptif ». L’exorciste aurait vu un homme, apparemment de la même famille, tenir la main de l’enfant. Et il ne serait plus de ce monde.

En règle générale, que cela soit chez les rebouteux, les magnétiseurs et autres guérisseurs ou marabouts, après une consultation il est normal de donner de l’argent à la personne qui vous a aidé, sauf avec les exorcistes : « Tous les gens que j’ai rencontré m’ont demandé de payer, sauf lui ; tu n’es pas obligé de donner, mais si don il y a, il est considéré comme un don pour l’église ». En partant, le prêtre a tendu à Cathy un flacon d’encens que l’on trouve seulement dans les églises : « il m’a dit de le passer partout dans la maison ».

Quelques temps après, la mère sentait du changement : « Je suis persuadé que cela a marché, au fur et à mesure que le temps passait, il allait beaucoup mieux, l’âge a dû aussi l’aider ». Tout semblait alors se stabiliser, jusqu’au jour où cette même sensation est revenue suite à une soirée qui a mal tournée « Il est hypersensible, ce moment lui a fait remonter toute les émotions qu’ils avaient connu quand il était petit » conclut-elle.

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« Il nous a répondu qu’il ne pouvait pas le soigner, car le problème ne venait pas de lui, mais de quelque chose de bien plus profond »

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