La Semaine des Arts, qui a débuté le lundi 19 mars, s’est clôturée ce jeudi. L’occasion de se plonger dans les coulisses de l’organisation de cet évènement. Aurélie Tourmente, qui s’est occupée de l’organisation de ce projet, a répondu à toutes nos questions.
Comment s’est passée l’organisation du projet de la Semaines des Arts ?
« Nous avons contacté le musée des Abattoirs car nous étions très intéressés par leur projet « Un établissement une œuvre », qui consistait en la présentation d’une œuvre du musée dans chaque établissement partenaire. Nous avons voulu pousser le projet un peu plus loin, en présentant toutes les œuvres exposées en ce moment aux Abattoirs sur le thème de la couleur sur le campus. »
Comment les contacts avec les Abattoirs ont-ils été établis ? Qui avez-vous contacté ?
« Les contacts se trouvés très facilement, car nous avons mis en place un partenariat avec le Musée. Ils nous ont donc donné tous les contacts nécessaires, notamment ceux de Thierry Talard et Emmanuel Hamon, qui nous ont aidé dans la mise en place du projet. »
Quels ont été les moyens mis en place pour le transport des œuvres ? (Niveau sécurité, moyens de transports, moyens d’installations)
« Nous avions un cahier des charges très précis à respecter en ce qui concerne le transport des œuvres ainsi que les conditions d’exposition. Les Abattoirs ont tout géré grâce à un régisseur, nous devions uniquement faire en sorte que les œuvres soient sur des murs uniformes. Nous devions aussi nous procurer des accroches. Les œuvres étaient assurées à la charge des Abattoirs. »
Au niveau de la sécurité sur le campus, est ce que d’autres moyens ont été mis en place en plus des dispositifs de sécurité actuels pour l’accueil de cet événement ?
« Il y a eu signature d’une convention encadrée, qui prenait en compte les assurances des œuvres pour leur sécurité. La sécurité était donc directement gérée par les Abattoirs, nous avons choisi les espaces pour pouvoir présenter une sécurité minimale. Nous avons fait en sorte que les œuvres ne soient pas trop exposées au danger. »
Hugo Kucharski