Battue à la primaire de la droite et du centre, il y a un peu plus d’un an, battue aux législatives de juin 2017, la conseillère de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet quitte la politique au profit du secteur privé.
Depuis quelque temps, Nathalie Kosciusko-Morizet disait vouloir quitter la politique pour le secteur privé. C’est chose faite. L’ancienne ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement (2010-2012), va rejoindre dès février, à New-York, la première entreprise de services du numérique en France, Capgemini. D’après un article du Monde.
Une femme de politique
Ingénieur de formation Nathalie Kosciusko-Morizet s’est très vite tournée vers la politique. D’abord, maire de Longjumeau dans l’Essonne de 2008 à 2013, puis elle devient secrétaire d’État chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique de 2009 à 2010, avant de devenir ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, sous le gouvernement Sarkozy (2010-2012). Suite à sa défaite aux législatives de 2017, face à la maire de Paris, Anne Hildago, l’ancienne secrétaire d’État avait annoncé vouloir « prendre du recul » sur sa situation.
Un départ pour les États-Unis
Nouveaux horizons 😉https://t.co/ZKXgbvWJTj
— N. Kosciusko-Morizet (@nk_m) 6 février 2018
A New York, Nathalie Kosciusko-Morizet va travailler pour le Capgemini. Ses nouvelles fonctions devraient l’amener à s’occuper de la cybersécurité dans les entreprises, comme l’a précisé la direction du groupe : « Elle va diriger l’activité Projet et Consulting de la division Cloud Infrastructure et cybersécurité ».
Pour rappel, Nathalie Kosciusko-Morizet devrait démissionner de ce dernier mandat « cet été », selon son entourage.