Vendredi 12 janvier se finissait le CES. Près de 140 000 visiteurs ont défilé dans les allées des 3 600 exposants. Tous sont là pour la même chose: connaître les prochaines tendances en technologie. Et sans surprise, l’intelligence artificielle s’est faite une place. En particulier dans le domaine automobile, comme avec la Hyundai e-Corner qui peut faire tourner ses roues à 90 degrés. L’innovation ne se finit jamais avec la société chinoise Xpeng Aeroth qui présente leur voiture volante. De quoi impressionner le public comme les concurrents.
Le pôle santé fait aussi parler de lui sur le salon. Jean-François, présent sur le salon pour son travail, nous explique qu’il a pu réaliser un examen rien qu’en restant devant le téléphone : « Grâce à une application, on peut connaître nos données vitales. L’application se base sur la couleur de nos joues pour faire ses analyses. C’est assez perturbant comme expérience », confie-t-il. Des capteurs pour surveiller le diabète ont aussi été présenté. Ils utilisent une technique non-invasive, c’est-à-dire qu’il n’y aura plus besoin d’une aiguille.
Mais la partie qui attire le plus le publique, c’est la partie « vie quotidienne ». Les exposants présentent toute sorte d’innovation pour améliorer le quotidien. « J’ai vu des robots de massage, des simulateur de montagne russe, des écrans de télé flexible, des oreillers anti-ronflement… Il y a vraiment de tout et de rien », constate le cadre. Toutes ces innovations seront sur le marché dans les années à venir, mais leur prix reste encore hors de portée d’une majeure partie de la population.
En résumé, le CES c’est plus de mobilité, plus d’objets connectés et surtout, plus d’intelligence artificielle ! Mais c’est surtout plus un lieu de repérage pour les entreprises qu’un simple salon pour les particuliers.