Une semaine après la crue, les dégâts sont toujours visibles sur le campement. Déjà insalubre, le sol des habitations de fortune est jonché de boue. Plusieurs familles ont dû quitter le camp après la destruction de leurs tentes par la montée des eaux. De nombreuses familles et des nourrissons font face à l’humidité, aux températures négatives ou encore le manque de nourriture. Une situation critique qui dure déjà depuis quatre mois.
Pour le moment, aucune proposition de relogement n’a été faite aux 15 demandeurs d’asile.
Laura Lude, Romain Agard, Eliot Poudensan