Le poney-club de Grellery, situé à La Ville-Dieu-du-Temple, est connu pour son professionnalisme. L’entreprise est très concernée par le bien-être de ses chevaux. Que ce soit en proposant des exercices plus respectueux de l’animal ou en sensibilisant les visiteurs.
Le Poney-Club de Grellery connait un certain succès. Le secret ? Son respect du bien-être animal. Des règles simples mais efficaces sont mises en place pour garantir le bonheur des chevaux. Ils disposent de 07 hectares de pré et un régime alimentaire complet. Isabelle, mère d’une cavalière, emmène sa fille au club chaque semaine. Elle affirme qu’elle vient ici car les chevaux sont bien traités. Elle aurait quitté le club s’il y avait de la maltraitance. Chaque cheval à des soins bien à lui: massage, bandes de froid. Ils se présentent tous chez le maréchal et le vétérinaire plusieurs fois par an.
« Le club se tourne vers des méthodes de dressage plus positives, respectueuses » nous explique Élodie Steene, employée au club. Ces méthodes sont basées sur l’éthologie. Elles s’appuient sur un système de récompense. Il y a beaucoup de travail à pied: de la longe et de la liberté. « Nous voyons beaucoup Élodie et Marie prendre soin des chevaux », affirme Garance, jeune cavalière. L’implication des employés au club est un facteur déterminant au succès de l’entreprise. Ils essayent aussi de sensibiliser pratiquants et visiteurs au bien-être animal.
La volonté de sensibiliser au bien-être animal
Élodie affirme que des règles sont mises en place afin de sensibiliser les visiteurs. Les adhérents ont obligation d’arriver une demi-heure avant le début du cours. Pareillement à chaque fin de séance. Chacun doit fournir les soins adéquats à son cheval.Les coachs accompagnent les enfants et les parents. « Marie et Élodie nous apprennent dès le début à bien nous occuper du cheval et à faire une sorte qu’il se sente bien » nous affirme Garance, lorsqu’elle s’occupait de sa jument.
« Les coachs ont du mal à se faire entendre », nous explique Isabelle. Les employés rencontrent des difficultés à sensibiliser les jeunes au bien-être animal. Certains n’appliquent pas les règles dictées par les coachs. Élodie déclare « les enfants n’aiment pas toujours s’occuper du poney ». Mais cette sensibilisation est plus efficace auprès des adolescents et des adultes.
Le club espère continuer à progresser et faire toujours mieux pour ses chevaux. Les employés veulent davantage sensibiliser les visiteurs pour que les chevaux se sentent bien au club.
Fougerouse Clémence.