Des étudiants en communication à l’Université Toulouse Capitole organisent une cagnotte solidaire jusqu’au 10 février 2021 au profit de l’association La Chaîne de l’Espoir pour venir en aide aux enfants démunis.
La Chaîne de l’Espoir a pour vocation de renforcer les systèmes de santé pour donner à chacun et en particulier aux enfants les mêmes chances de survie et de développement. La Chaîne de l’Espoir c’est aussi 16 antennes locales, dont une à Toulouse. Sa mission consiste en l’accueil et l’opération bénévoles d’enfants qui seraient condamnés dans leurs pays d’origine, faute de structures de santé adaptées notamment. L’organisme s’engage auprès des enfants les plus démunis dans 27 pays et agit au travers de plusieurs actions telles que soigner les enfants en France et dans leurs pays d’origine, construire et équiper des hôpitaux, former les équipes médicales locales ou proposer une aide humanitaire d’urgence.
« En faisant un don de quelques euros, les donateurs aident concrètement à sauver des enfants comme Steven, 5 ans ; Precious, 7 ans et Doudedji, 19 mois, tous les trois opérés du cœur en France en cette fin d’année 2020. Et beaucoup d’autres enfants dans de nombreux pays gardent l’espoir d’être soignés à leur tour. » explique Léa une étudiante porteuse du projet.
Une cagnotte solidaire par des toulousains
L’association des étudiants en communication à l’Université Toulouse (M2 AGCOM Solidaire) a donc décidé de lancer une cagnotte solidaire sur la plateforme sécurisée HelloAsso, qui durera jusqu’au 10 février 2021. Le but de cette cagnotte est de soutenir les actions de La Chaîne de l’Espoir et de l’aider à financer ses projets.
Le montant de la cagnotte sera entièrement reversé à l’association La Chaîne de l’Espoir. Habituellement, la venue d’un enfant nécessitant une opération en France pendant 8 semaines coûte entre 12 000 et 14 000 euros. Mais aujourd’hui, la pandémie de Covid-19 a bousculé le fonctionnement de La Chaîne de l’Espoir. Les listes d’attente d’enfants en danger n’ont pas disparu : elles se sont allongées au fil des semaines où les interventions de La Chaîne de l’Espoir ont été limitées.