4 années déjà que l’Oncopole a vu le jour à Toulouse. Ce centre novateur de recherche contre le cancer organise depuis deux ans l’Oncoweek, semaine de lutte contre le cancer. Nous avons voulu nous pencher sur les chiffres clés de ce lieu depuis sa création.
Tout a commencé le vendredi 10 octobre 2014, jour de l’inauguration de l’Institut Universitaire du Cancer de Toulouse Oncopole (IUCT Oncopole) et du centre de recherche du cancer de Toulouse. Mais on peut remonter jusqu’en 2009, où le centre Pierre Potier annonçait les prémices du bâtiment imposant que nous connaissons aujourd’hui. Ce campus est dédié entièrement à la maladie qui touche le plus de personnes dans le monde. Créé par l’architecte Yann Padlewski, il est situé symboliquement sur le site ou s’est déroulé l’explosion de l’usine AZF en 2001. C’est Toulouse Metropole qui a investi dans ce lieu unique et novateur, premier européen en terme de recherches. Et Quatre ans après son ouverture, l’Oncopole se porte bien.
l’ oncopole en chiffres
L’ oncopole un avenir programmé
L’Oncopole toulousain est une référence nationale voire européenne en matière de recherche contre le cancer. Mais peut-il se positionner en tant que leader mondial ? Pas encore, d’après Gilles Favre, directeur du canceropole, dans une interview délivré a Actu Toulouse : « il manque au site de la route d’Espagne une reconnaissance globale. En cela, 2018 sera une année charnière pour le centre anti-cancer ». Et pour cela, le centre de recherche consolide un partenariat avec la société allemande Evotech, en construisant un laboratoire commun dédiée à la médecine translationnelle. Cette semaine le centre accueille l’Oncoweek et 21 experts en cancérologie, de quoi alimenter sa réputation internationale.
En ce qui concerne le territoire français, l’Établissement Français du Sang (EFS) devrait rejoindre les locaux de l’Oncopole au cours de l’année 2018.